Appel n°1 pour une affaire prud'homale

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è Pour Word Arrêt du premier appel
Condamnés à 3000 F pour avoir dérangé un employeur vertueux.
"Seules doivent être considérées les demandes financières de la salariée"
Notre défenseur nous avait fait réduire les demandes que nous pensions et les avait fait morceler.
Ceci dans le but d'empêcher un appel (sans nous prévenir)
Nous ignorions la règle de la séparation en chefs de demande.
Incohérence: On exprime une règle sur les demandes indéterminées pour les salariés, et pour parfaire les demandes indéterminées n'existent pas pour les salariés !!!
N.B. L'avocate est allé voir la Cour d'Appel le matin (dépôt des écritures annoncées par la greffière).
Officiellement les droits de la salariée sont réduits vis à vis des autres personnes (salariés ?).
D'où liberté fraternité égalité (on le savait, mais c'est une Cour d'Appel qui l'officialise) !
è Pour Word Nos écritures devant la Cour d'Appel.
è Pour Word Ecritures de l'avocate de l'employeur.
Demande de considérer l'appel irrecevable (accordé, d'où cassation).
Des allégations sans preuves, parfois mensongères
A remarquer - Temps partiel valide 65 heures en "oubliant" que le document d'où la reconnaissance de la demande de temps partiel mentionnait l'amplitude de 155h30 !
N.B. Ceci sera validé au second appel et sera le motif du pourvoi n°3.
è Pour Word Explications devant la Cour d'Appel.
N.B. Le mot "plaidoirie" est réservé à l'avocat.
Ce n'est pas parfait. Je ne peux rien changer. J'estime la présentation des demandes indéterminées suffisante.
è Pour Word Les causes de la décision selon l'avocate.
A mon avis, elle se fout de nous. Mais c'est aussi une insulte à la Cour qui lui a cédé.
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